Badminton

Samedi 21 septembre à 16h, le Hem Badminton affrontera les Picards de Liancourt en Nationale 3.

C’est le samedi 23 mars, après une saison de haute lutte face aux épouvantails de Aire-sur-la-Lys et Grande-Synthe, que le Hem Badminton a décroché une montée historique à l’échelon national des Interclubs sur les terres de son rival du littoral.
Depuis, six mois se sont écoulés. Six mois que les protégés de Rabah Ali Bacha attendent de se mesurer aux meilleurs clubs de France. Six longs mois que l’équipe première hémoise, encadrée par des pointures tel  l’ex-lillois Gregory Fievez (deux saisons en Nationale 2) qui leur apporte au quotidien sa connaissance du haut-niveau, a mis à profit pour se préparer avec un objectif assumé : jouer les trouble-fêtes dès sa première saison en haut niveau ! Mais face à des adversaires expérimentés comme les Picards et notamment la star de leur effectif  l’Indonésien Ovkana, la plus jeune équipe du championnat n’aura pas le droit à l’erreur si elle veut affirmer d’entrée sa soif de succès.

Quoi qu’il advienne, quelle évolution déjà pour le Hem Badminton né sous cette forme il y a sept ans ! Une structure grandissante, en plein boom et qui pourtant ne perd pas son identité : celle d’un club formateur de renom – le meilleur au nord de Paris – misant sur la jeunesse, grandissant au rythme de ses meilleurs espoirs.

Tout cela est le fruit d’un travail qui a également permis de nombreux succès individuels. Passée par le cursus de formation hémois avant de rejoindre l’élite du Top 12 avec Grande-Synthe Marie Batomène affiche aujourd’hui un superbe titre de vice-championne de France seniors en simple dames, trois ans après celui acquis en double mixte chez les jeunes sous les couleurs de la ville. Thibaut Nguyen affiche quand à lui plusieurs podiums dans la même compétition en minimes et cadets, avec en point d’orgue une superbe médaille de bronze par équipes aux championnats d’Europe cadets en mai. Sixtine Brouillard, Jules Depecker, Edgar Grelin et bien d’autres jeunes pousses travaillent aussi d’arrache-pied salle Dubus pour emboîter le pas à leurs aînés.